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L’EGLISE DE VICQ

 

 

     Joyau de l’art roman du XIIème siècle, classée Monument historiques en 1911, possède des croisées d’ogives du XIIème, présente une nef à trois travées avec bas cotés, transept, absidioles et abside. Connue pour son clocher du XIVème, tronqué vers 1750. Clocher à 3 étages, et 8 pans, restauré en 2008.

 

     Une crypte du Xème s’étend sous l’autel. Ce monument classé en 1887 est remarquable car il a conservé son autel primitif avec reliquaire. Les reliques de Saint Mesmin ont disparu à la Révolution.

 

     Les piliers de l’église sont ornés de 4 colonnes engagées. Le premier pilier à gauche est fortement penché, résultat peut-être d’un séisme, ou présence d’une autre crypte démolie ou effondrée à cet endroit. 

 

    A noter aussi  à l’entrée de la sacristie un chapiteau, malheureusement abimé lors de travaux.

 

     Avec ses têtes coupées, ses deux personnages et le sonneur d’olifant, on peut lui attribuer une origine carolingienne et une finalité moralisatrice étant donné la présence d’un monstre infernal. 

 

 

 

 

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

     La sacristie fut construite à la place de la chapelle privée des Seigneurs du château de la Mothe, tout proche. Cette sacristie entièrement peinte serait l’œuvre d’Anatole Dauvergne, peintre renommé, ayant travaillé dans de nombreuses églises de la région, financée par une vicquoise Mme de Montader.

 

 

     Le blason des Seigneurs figurant au plafond n’a pas sa couleur d’origine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DES SARCOPHAGES

 

Découverts autour de l’église lors de travaux et placés à l’est de l’église témoignent de l’ancienneté de l’existence d’un « Vicus » à la période mérovingienne. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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